Startby marking “Le Veteran: Onze ANS Dans Les Camps de Concentration” as Want to Read: Want to Read saving L'un des meilleurs livre de vĂ©cu sur le sujet. RĂ©cit terrible, bien Ă©crit, trĂšs explicite. more. flag Like · see review. Loopine rated it really liked it Apr 14, 2018. Gabrielle PĂžulin rated it liked it Aug 25, 2020. Pascale Purnelle marked it as to-read
J'ignore en vĂ©ritĂ© quelle sera la grande cause nationale 2015, certainement pas le racisme, ou alors trop le racisme, dont on cause politique pour cause de grande cause mĂ©diatique. Histoire de races et d'orientation politique !En effet, il y a diverses façons de lutter contre le racisme - on peut lutter pour faire monter le racisme et faire taire les oppositions, toutes les oppositions, encourageant l'oppression religieuse et exaspĂ©rant les passions,- ou on peut lutter contre le racisme qui monte en laissant faire la libre expression, toutes les formes d'expression pour obtenir une communication, l'Ă©change entre communautĂ©s jusqu'Ă  la communion autour d'un bon repas Ă  NoĂ«l, Ă  Yom Kipour, Ă  l'AĂŻd al-Fitr ou Ă  la fĂȘte de Wesak, et j'en oublie, ensemble, pas chacune dans sa "paroisse", son temple ou sa mosquĂ©e, ce qui implique de nous laisser rentrer, nous aussi, les femmes, dans les salles de priĂšre des mosquĂ©es et toc !.Moi, j'aimais bien dans mon Ăźle, l'Ile de la RĂ©union, "voyager" du temple hindou Ă  la mosquĂ©e, en passant par le temple malabar ou l'Ă©glise catholique, ou le temple des "Saints des derniers jours", ou l'appartement servant de maison Ă  Bouddha, ou... participer Ă  la marche sur le feu, manger des cornes de gazelle, des samoussas et manger des crĂȘpes Ă  la les "mille et une saveurs". C'Ă©tait aussi les mille et une lueurs, chaque habitation des dieux contenant de la lumiĂšre de Dieu mise en valeur par des flambeaux, des torches, des bougies, des lampes Ă  huile ou Ă  encens, des vitraux ou un vitrail, des ouvertures et des fermetures, des arcanes et des lucanes, des passages et des tapissages. De races, je n'en ai point connues - des noirs chrĂ©tiens,- des blancs bouddhistes,- des jaunes athĂ©s,- des bronzĂ©s malabars- et des pas bronzĂ©s zanzibars,bronzĂ©s malabars et bronzĂ©s zanzibars pouvant ĂȘtre tout Ă  la fois juifs, chrĂ©tiens, musulmans, hindous, bouddhistes ou religion, une race ?Quel est l'idiot de village qui a inventĂ© cette farce ?Farces et attrape dont on peut mourir, et pas mourir de rire !Comment avons-nous pu accepter de penser comme les Nazis, de penser que les Juifs sont une race, pour finir par dire d'eux qu'ils sont des "Musulmans", Ă  l'identique des Nazis qui convoyaient les "Juifs" dans les camps de Travail le travail rend libre !, camps de concentration oĂč les SĂ©mites monothĂ©istes de la religion du Livre Ă©taient unis dans la mĂȘme haine paĂŻenne avec les homosexuels, les handicapĂ©s mentaux et physiques, les opposants politiques, les rĂ©sistants, bande de dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©s et d'enfoirĂ©s! Vue d'ensemble de l'entrĂ©e et grille d'entrĂ©e avec l'inscription Arbeit macht frei "Le travail rend libre", en allemand s'il vous plaĂźt dans le texte du camp de concentration d'Auschwitz capitaliste nĂ©o-libĂ©ral du XXIĂšme siĂšcle, l'exploitation de l'homme par l'homme sacralisĂ©e par la loi et les droits du plus fort ! Les musulmans par le Dr BeilinDescription clinique faite par le Dr Beilin au cours du procĂšs Eichmann. Elle concerne plus spĂ©cialement les Juifs Ă  Auschwitz [...] Les Musulmans ? Je les ai rencontrĂ©s pour la premiĂšre fois Ă  Auschwitz-Birkenau. Le musulmanisme » Ă©tait la derniĂšre phase de la sous-alimentation. Il est trĂšs intĂ©ressant de voir qu'un homme qui arrive Ă  cette phase commence Ă  parler de nourriture. Il y avait deux sujets que les dĂ©tenus d'Auschwitz considĂ©raient comme une espĂšce de tabou les crĂ©matoires et la nourriture. » Parler de nourriture augmentait, par voie de rĂ©flexes conditionnĂ©s, la production d'acides dans l'estomac, et donc l'appĂ©tit. Il fallait s'abstenir de parler de la nourriture. Lorsque quelqu'un perdait le contrĂŽle de lui-mĂȘme et se mettait Ă  parler de la nourriture qu'il mangeait chez lui, c'Ă©tait le premier signe de la musulmanisation, et nous savions qu'au bout de deux ou trois jours, cet homme passerait au troisiĂšme stade. Il n'y avait plus de distinction trĂšs nette nous savions que cet homme, ne rĂ©agirait plus, ne s'intĂ©resserait plus Ă  son entourage, n'exĂ©cuterait plus les ordres et ne rĂ©agirait mĂȘme plus. Ses mouvements devenaient lents, son visage prenait un aspect de masque, ses rĂ©flexes ne fonctionnaient plus, il faisait ses besoins sans s'en rendre compte. Il ne se retournait mĂȘme plus sur son lit, de sa propre initiative, il restait couchĂ© sans bouger, et c'est ainsi qu'il devenait un Musulman, il devenait un cadavre aux jambes trĂšs enflĂ©es. Comme il fallait se tenir debout lors de l'appel, nous les mettions de force face au mur, les mains levĂ©es, et c'Ă©tait simplement un squelette au visage gris qui se tenait contre le mur et qui ne bougeait que parce qu'il avait perdu son Ă©quilibre. Tels Ă©taient les signes caractĂ©ristiques des Musulmans, qui, ensuite, Ă©taient emportĂ©s par le Commandos des Morts, avec les cadavres. » Le musulman par Primo Levi Primo Levi Les musulmans », les hommes en voie de dĂ©sintĂ©gration, ceux-lĂ  ne valent mĂȘme pas la peine qu'on leur adresse la parole, puisqu'on sait d'avance qu'ils commenceraient Ă  se plaindre et Ă  parler de ce qu'ils mangeaient quand ils Ă©taient chez eux. Inutile, Ă  plus forte raison, de s'en faire des amis ils ne connaissent personne d'important au camp, ils ne mangent rien en dehors de leur ration, ne travaillent pas dans des commandos intĂ©ressants et n'ont aucun moyen secret de s'organiser. Enfin, on sait qu'ils sont lĂ  de passage, et que d'ici quelques semaines il ne restera d'eux qu'une poignĂ©e de cendres dans un des champs voisins, et un numĂ©ro matricule cochĂ© dans un registre. Bien qu'ils soient ballottĂ©s et confondus sans rĂ©pit dans l'immense foule de leurs semblables, ils souffrent et avancent dans une solitude intĂ©rieure absolue, et c'est encore en solitaires qu'ils meurent ou disparaissent, sans laisser de trace dans la mĂ©moire de qui ne sait pas devenir Organisator, Kombinator, Prominent farouche Ă©loquence des mots ! devient inĂ©vitablement un musulman ». Dans la vie, il existe une troisiĂšme voie, c'est mĂȘme la plus courante ; au camp de concentration, il n'existe pas de troisiĂšme plus simple est de succomber il suffit d'exĂ©cuter tous les ordres qu'on reçoit, de ne manger que sa ration et de respecter la discipline au travail et au camp. L'expĂ©rience prouve qu'Ă  ce rythme on rĂ©siste rarement plus de trois mois. Tous les musulmans » qui finissent Ă  la chambre Ă  gaz ont la mĂȘme histoire, ou plutĂŽt ils n'ont pas d'histoire du tout ils ont suivi la pente jusqu'au bout, naturellement, comme le ruisseau va Ă  la mer. DĂšs leur arrivĂ©e au camp, par incapacitĂ© fonciĂšre, par malchance, ou Ă  la suite d'un accident banal, ils ont Ă©tĂ© terrassĂ©s avant mĂȘme d'avoir pu s'adapter. Ils sont pris de vitesse lorsqu'ils commencent Ă  apprendre l'allemand et Ă  distinguer quelque chose dans l'infernal enchevĂȘtrement de lois et d'interdits, leur corps est dĂ©jĂ  minĂ©, et plus rien dĂ©sormais ne saurait les sauver de la sĂ©lection ou de la mort par faiblesse. Leur vie est courte mais leur nombre infini. Ce sont eux, les MusulmĂ€nner », les damnĂ©s, le nerf du camp ; eux, la masse continuellement renouvelĂ©e et toujours identique, des non-hommes en qui l'Ă©tincelle divine s'est Ă©teinte, et qui marchent et peinent en silence, trop vides dĂ©jĂ  pour souffrir vraiment. On hĂ©site Ă  les appeler des vivants on hĂ©site Ă  appeler mort une mort qu'ils ne craignent pas parce qu'ils sont trop Ă©puisĂ©s pour la comprendre. Primo Levi. Si c'est un homme »Les "musulmans" peuplent ma mĂ©moire de leur prĂ©sence sans visage, et si je pouvais rĂ©sumer tout le mal de notre temps en une seule image, je choisirais cette vision qui m'est familiĂšre un homme dĂ©charnĂ©, le front courbĂ© et les Ă©paules voĂ»tĂ©es, dont le visage et les yeux ne reflĂštent nulle trace de pensĂ©e. »Primo Levi. Si c'est un homme »Le Musulman Ă©tait juif Ă  Auschwitz, qu'il ne l'oublie jamais, qu'il soit musulman ou juif !Nous sommes tous nĂ©s juifs en France, parce que de confession judaĂŻque, judĂ©o-chrĂ©tienne ou judĂ©o-christiano-musulmane, la derniĂšre-nĂ©e des religions du Livre, pour la chassons-nous en France, en chassant le Musulman ou le Juif ou le ChrĂ©tien ?L'ombre d'une histoire paĂŻenne qui s'est achevĂ©e dans les camps de travail ?Le nĂ©o-paganisme triomphant d'un dĂ©nommĂ© Adolf HITLER, le Chancelier allemand qui avait soumis la France, tous des soumis, des "musulmans" ?Je m'interroge et je revois nos "fous-rires", Ă  la RĂ©union, de filles infidĂšles Ă  nos religions, Ă©changeant des critiques et des piques qui, sur la messe et le prĂȘtre qui garde des miettes d'hostie autour de la bouche quand il bĂ©nit ses ouailles, ou l'imam qui se couche sur le sol et dont le popotin proĂ©minent devient le paysage "saint" du fidĂšle contemplatif, ou le sorcier malabar qui laisse Ă©chapper la poule qui ne veut pas finir dans son pot, sacrifie-toi toi-mĂȘme !, et qui se barre, ou le "z'oreille" qui vient marcher sur le feu hindou et tremble, transpire Ă  grosses gouttes avant l'Ă©preuve initiatique et cathartique, cette merveille de la physique, le miracle de l'homme fou qui marche sur le feu ! Dans mon Ăźle, personne n'Ă©tait arrivĂ©e avant l'autre. L'Ile de la RĂ©union, l'Ile Bourbon, avait Ă©tĂ© un repaire de pirates, de boucaniers, qui s'Ă©tait peuplĂ©e peu Ă  peu avec des blancs, des noirs, des faux bistres et des vrais bistrots, des jaunes et des "p'tits blancs", les "p'tits blancs" des hauts dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©s, tarĂ©s parce qu'ils avaient refusĂ© l'exogamie, et comme les vieilles races de chiens, Ă©taient devenus et restĂ©s "purement" vu, de mes yeux vu, l'illusion de la puretĂ© de la race. Rien ne vaut un bon bĂątard de chien ! Ce sont souvent les plus beaux et les plus intelligents. Et dĂ©couvrir ces familles dĂ©vastĂ©es par leur refus idĂ©ologique d'ĂȘtre contaminĂ©es par le sang noir, marron ou jaune, ces gosses de p'tits blancs isolĂ©s dans les hauts de l'Ile, confinĂ©s et confisquĂ©s Ă  la vie rĂ©elle, m'a profondĂ©ment marquĂ©e, car on pouvait lire sur leurs visages l'idiotie congĂ©nitale des fins de religion n'est pas une peut le la race, par l'exclusion des autres races, peut conduire Ă  l'idiotie congĂ©nitale ou cĂ©rĂ©brale. Mais qu'on se serve, comme Adolf HITLER, du concept de "race" pour faire du terrorisme intellectuel, confondant race et religion non, car c'est confondant d'idiotie ! Laissez-nous nous critiquer et vous critiquer librement, loin de vos petites personnes sacralisĂ©es par vos auras politiques et fragilisĂ©es par vos mĂ©dias extatiques !Foin de votre censure qui agresse l'intelligence pour cause d'offense Ă  vos petits "egos" !Souffrez que l'on vous torture un peu pour faire sortir la bĂȘtise de vos cerveaux trop bien remplis et si peu bien faits, tĂȘtes de veaux et faux dĂ©vots de la laĂŻcitĂ© menteuse qui prĂ©conisez l'islamisation des prisons pour sortir de la prison souhaite Ă  tous, pour l'annĂ©e 2015, que le droit de la presse ne soit plus le droit qui oppresse, dussĂ©-je vous paraĂźtre une moins je n'agirais pas en traĂźtresse.
Estil vrai que les détenus des camps de concentration nationaux-socialistes se soient laissés conduire comme des moutons à l'abattoir, qu'ils aient supporté passivement la tyrannie de gardiens trÚs inférieurs en nombre? Non,
Comparer le sort des non vaccinĂ©s Ă  celui des juifs sous le rĂ©gime nazi ? Didier Raoult l’a fait. Et Ivan Rioufol l’a appuyĂ©, tandis que Pascal Praud cĂ©lĂ©brait le “discours haut de gamme” du professeur selon lequel la vaccination est dangereuse. Bonsoir Ă  tous, bonsoir Ă  Ivan Rioufol qui va ĂȘtre aux anges », salue Pascal Praud mardi dernier sur CNews. L’animateur de L’heure des pros s’adresse Ă  l’éditorialiste du Figaro, farouche militant antivax Monsieur Raoult, votre ami, a Ă©levĂ© un peu le niveau de ses interventions. » Plus haut que le plus haut des scientifiques ? Je pense que ça va faire rĂ©agir parce que je ne sais pas si sa comparaison est heureuse. » Le bandeau proclame D. Raoult “une sociĂ©tĂ© totalitaire”. » Quelle sociĂ©tĂ© ? L’IHU de Marseille ? Pascal Praud ajoute Je suis sensible au discours haut de gamme de Didier Raoult. » À sa dĂ©sinformation haut de gamme, qui a toute sa place sur une chaĂźne info. Ecoutez-le, c’est trĂšs intĂ©ressant le pourcentage de contaminĂ©s non vaccinĂ©s est le mĂȘme que le pourcentage des contaminĂ©s vaccinĂ©s. Le mĂȘme ! Écoutez. » Vous allez dĂ©couvrir que la vaccination ne sert Ă  rien, comme on le rĂ©pĂšte depuis des mois sur CNews et sur C8. © CNews Didier Raoult confirme Le pourcentage de vaccinĂ©s positifs est le mĂȘme que le pourcentage de non vaccinĂ©s. Avec des donnĂ©es de cette nature, vous pouvez pas foutre des gens en camp de concentration pasqu’ils ne vous obĂ©issent pas. » Tiens, j’ignorais que notre gouvernement avait construit des camps de concentration pour les non vaccinĂ©s. Sinon, vous tombez dans des choses qui rappellent la DeuxiĂšme Guerre mondiale. » On enfermait les non-vaccinĂ©s, pendant la Seconde Guerre mondiale ? Quand on veut que les gens vous obĂ©issent alors que ça n’a plus de sens, ça s’appelle le totalitarisme. » Pas de doute, ce Didier Raoult est aussi haut de gamme en science politique qu’en infectiologie. Y a le fond et la forme, rĂ©agit Pascal Praud en plateau. La comparaison n’est pas heureuse. » Mais le fond est indiscutable les non vaccinĂ©s ont raison de ne pas se faire vacciner puisque cela ne sert Ă  rien. On ne peut pas faire un parallĂšle entre la condition des non vaccinĂ©s et celle des juifs, si c’est ce que vous voulez me faire dire, se dĂ©fend Ivan Rioufol. C’est pas ce qu’il dit non plus. » Évidemment. Quand on parle de camps de concentration et de DeuxiĂšme Guerre mondiale, ce n’est jamais pour Ă©voquer le sort des juifs. Il dit qu’il faut faire attention Ă  la sĂ©grĂ©gation hygiĂ©niste. Parce que dans la sĂ©grĂ©gation hygiĂ©niste, on a connu ça sous le nazisme notamment, oĂč ils cherchaient l’homme sain, l’homme parfait. » Comme les macronistes, ces nazis des temps modernes. Rappelez-vous quand mĂȘme que quand le ghetto de Varsovie a Ă©tĂ© créé en 1940, c’était un lieu de contaminĂ©s. C’était d’abord un lieu hygiĂ©niste. Le ghetto, c’était un lieu fait pour prĂ©server du typhus. » Et les douches au Zylon B, c’était pour Ă©liminer les poux ? En tout cas, l’éditorialiste du Figaro prouve qu’il connaĂźt assez bien la propagande nazie pour continuer Ă  la propager quatre-vingts ans plus tard. © CNews Personne ne rĂ©agit sauf l’avocate Sophie Obadia, qui clame C’est vrai ! C’est vrai ! » Ivan Rioufol poursuit Cette sĂ©grĂ©gation qui s’est installĂ©e au nom d’un hygiĂ©nisme d’État est tout Ă  fait totalitaire. » Pas de doute, le gouvernement a planifiĂ© le gĂ©nocide des non vaccinĂ©s. Ivan Rioufol salue le discours de Didier Raoult Je suis content qu’il emploie ce mot de totalitaire. » Et qu’il alerte sur l’imminence d’un gĂ©nocide. Je persiste Ă  dire que nous avons vĂ©cu une dictature sanitaire. » Une dictature qui finance Didier Raoult avec nos impĂŽts, c’est vous dire si elle est impitoyable. Pascal Praud annonce le deuxiĂšme passage » du discours haut de gamme de Didier Raoult. Qui dĂ©clare Allez voir le site de [l’universitĂ©] John Hopkins, on est quasiment Ă  dix milliards de vaccins et y a jamais eu autant de cas. Aux Etats-Unis, la situation explose, en France, la situation est exactement la mĂȘme. » Preuve que le vaccin est source de contaminations. Ce qui est intĂ©ressant, c’est la volontĂ© d’augmenter la couverture vaccinale dont on a la preuve sous les yeux qu’il ne marche absolument pas. » Le bandeau de CNews confirme, un vaccin qui “ne marche absolument pas”. » C’est extrĂȘmement intĂ©ressant, poursuit le charlatan — pardon, le professeur haut de gamme. Il n’y a aucun intĂ©rĂȘt dĂ©montrĂ© Ă  vacciner une population qui n’est pas Ă  risque. Plus on fait de vaccins, plus l’épidĂ©mie flambe. » C’est bien la preuve que la vaccination multiplie les contaminations. En plateau, Pascal Praud rĂ©agit Qui contestera la justesse de ce raisonnement ? » Impossible de nier que le vaccin engendre les contaminations. JĂ©rĂŽme BĂ©glĂ©, ancien du Point tout juste nommĂ© Ă  la direction du Journal du dimanche par Vincent BollorĂ©, prĂ©cise C’est une Ă©pidĂ©mie de nez qui coulent, c’est pas la mĂȘme qu’il y a deux ans quand on finissait en rĂ©animation. » Les patients qui meurent d’Omicron sont des simulateurs Martin Blachier et David Pujadas l’ont dĂ©montrĂ© sur LCI. A ce moment-lĂ , rĂ©agit Pascal Praud, le ministre de la SantĂ© doit dire “On arrĂȘte la vaccination.” » JĂ©rĂŽme BĂ©glĂ© insiste On peut pas dire que l’épidĂ©mie de formes extrĂȘmement bĂ©nignes d’aujourd’hui ressemble Ă  celle d’il y a un an et demi. » Les patients hospitalisĂ©s, qui vont en rĂ©animation, qui meurent ou qui souffrent de Covid longs sont des comĂ©diens payĂ©s pour maintenir la population dans la terreur. © CNews Pascal Praud salue encore la clairvoyance de Raoult Son raisonnement est juste. » Juste inepte. L’absurditĂ© qu’il dĂ©nonce, il faut s’y arrĂȘter, rĂ©clame Ivan Rioufol. Le prĂ©sident ne cesse de nous dire “vacciner, vacciner, vacciner” alors mĂȘme que l’on sait que les vaccins ne fonctionnent pas. » Pire, on sait grĂące Ă  Didier Raoult qu’ils favorisent les contaminations. JĂ©rĂŽme BĂ©glĂ© nuance Ils fonctionnent contre les cas graves.— La France est un des pays qui a le plus vaccinĂ© et c’est le pays d’Europe qui connaĂźt le plus de cas, objecte Ivan Rioufol. — Mais des cas bĂ©nins, maintient JĂ©rĂŽme BĂ©glĂ©. — Alors pourquoi voulez-vous continuer Ă  vacciner puisque ce sont des cas bĂ©nins ? », s’insurge Ivan Rioufol, conscient que la non-vaccination protĂšge de la contamination mĂȘme si elle expose Ă  l’enfermement dans des ghettos, antichambres de l’extermination. Sophie Obadia se lance Il fait de la politique, M. Raoult. — Nan, il fait pas de la politique, proteste Pascal Praud, il fait de l’analyse scientifique. » FondĂ©e sur des faits historiques. Il explique une chose extrĂȘmement simple. Ce vaccin protĂšge des cas graves, mais y en a plus, de cas graves ! » Donc rien ne sert d’ĂȘtre vaccinĂ©. Pascal Praud consulte son tĂ©lĂ©phone Je reçois des messages, je n’ose mĂȘme pas vous dire. Y a quelqu’un qui m’insulte. » Un ennemi de la science, certainement. Des cinglĂ©s, y en a beaucoup, assure Ivan Rioufol. Parce que ça a rendu cinglĂ©, cette histoire. » Tout le monde n’est pas restĂ© aussi sain d’esprit que l’éditorialiste. Pascal Praud s’étonne Je reste fascinĂ© par ce monde. » Et moi, par CNews. © CNews Dans cette logique totalitaire, se dĂ©sole Ivan Rioufol, vous avez des terreurs hygiĂ©nistes qui se sont installĂ©es. Il y a eu une crĂ©ation de sous-citoyens qui ont Ă©tĂ© amenĂ©s dans des ghettos. » OĂč ils meurent de faim, de froid, du typhus, c’est largement documentĂ©. Ce qui devrait nous animer, c’est la vĂ©ritĂ©, conclut Pascal Praud. Et c’est pour ça qu’Ivan Rioufol n’a pas tout Ă  fait tort. » De comparer les non vaccinĂ©s aux juifs sous le rĂ©gime nazi. On referme le sujet, enchaĂźne l’animateur, et on ouvre la politique avec deux sondages. Éric Zemmour, que j’ai eu hier sur le plateau, pense qu’il y a un effet Zemmour
 » Sur CNews, ça fait longtemps. 
 Que ce qui se passe sur le terrain est tout Ă  fait Ă©tonnant. C’est d’ailleurs vrai. Il a des fans, il y a un enthousiasme, il y a des salles pleines comme aucun autre candidat aujourd’hui. » Il pourrait ĂȘtre Ă©lu prĂ©sident par acclamation. Ça ne se traduit pas encore dans les sondages. » Mais ça se traduit dans le bandeau Éric Zemmour remonte dans les sondages. » LĂ , vous avez Le Pen et Zemmour Ă  Ă©galitĂ© donc vous ĂȘtes dans une dynamique Zemmour qui monte et dans une dynamique baissiĂšre chez PĂ©cresse. » Le sondage montre en effet une fantastique progression de 0,5 point d’Éric Zemmour donc dans la marge d’erreur. Je suis Ă©lu Ă  Pau, je connais bien les gens, tĂ©moigne Olivier Dartigolles. Je me rends compte qu’Éric Zemmour est sous-estimĂ© dans les sondages parce que les Ă©lecteurs de la droite sont prĂ©occupĂ©s par la campagne de ValĂ©rie PĂ©cresse et ont une tentation Zemmour. » Si les sondeurs faisaient bien leur travail, Zemmour serait Ă  30 % d’intentions de vote. © CNews La thĂ©orie du vote cachĂ©, nuance JĂ©rĂŽme BĂ©glĂ©, on la dĂ©couvre qu’aprĂšs, elle est compliquĂ©e Ă  voir aujourd’hui. » Pascal Praud conteste Vous avez pas besoin d’avoir un vote cachĂ© pour aller dans la rue et rencontrer une bourgeoise culturelle, intellectuelle qui votait RĂ©publicain et qui est tentĂ©e par Zemmour. Vous avez juste Ă  Ă©couter des commerçants, des professions libĂ©rales. » Bien mieux que les sondeurs, l’animateur de CNews est en prise avec le peuple d’extrĂȘme droite. Pascal Praud continue Ă  explorer l’actualitĂ© de l’extrĂȘme droite — pardon, l’actualitĂ© politique, mais il est difficile de les distinguer sur CNews — avec Marine Le Pen huĂ©e Ă  Brest ». Ivan Rioufol commente Y a une radicalisation de l’extrĂȘme gauche voire mĂȘme de la gauche puisque Martine Aubry elle-mĂȘme a appelĂ© Ă  manifester samedi parce que Zemmour va aller faire un meeting Ă  Lille. » Tandis que l’extrĂȘme droite, elle, se dĂ©radicalise. Donc les fascistes, vous voyez bien oĂč ils sont aujourd’hui, naturellement ils ne sont pas Ă  l’extrĂȘme droite. » Les fascistes sont au PS, comme les non vaccinĂ©s sont dans des ghettos. Les nouveaux fachos, ce sont eux ! » Mais il reste un Ăźlot de rĂ©sistance CNews, la chaĂźne antifasciste. Ma vie au poste, la chronique de Samuel Gontier CNews extrĂȘme droite Coronavirus ÉpidĂ©mie Partager Contribuer
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Luiseul pouvait écrire ce livre-là. Michel Cymes n'est pas seulement le présentateur du Magazine de la santé, sur France 5, et le chouchou du Zapping, sur Canal+. Il

ï»żUn documentaire sur les camps de concentration retrace l'histoire des carnets de recettes des dĂ©portĂ©s DR DR HISTOIRE - Ce sont des chuchotements. Dans ces murmures, on entend parler beurre par ci, estragon par lĂ , chocolat et fraises aussi. Ces mots bas Ă©changĂ©s dans le dos des tortionnaires ont Ă©tĂ© consignĂ©s par Ă©crit dans des carnets. De curieux objets qui avaient Ă©tĂ© oubliĂ©s de la grande Histoire mais cachĂ©s et prĂ©cieusement conservĂ©s par les familles des victimes des camps de concentration de la Seconde Guerre mondiale. La documentariste Anne Georget leur a consacrĂ© un documentaire passionnant,Les Festins Imaginaires, diffusĂ© ce jeudi 5 novembre sur la chaĂźne cĂąblĂ©e PlanĂšte +. Ce documentaire est Ă©galement disponible en DVD. Pour supporter la faim, la douleur, le dĂ©sespoir, la peur, l'Ă©loignement de la famille et la mort tout autour de soi, certains imaginaient un petit beurre qu'on trempe dans du chocolat fondu, d'autres une tarte aux fraises au sirop, d'autres encore une choucroute, un gĂąteau de pommes de terre ou un ragoĂ»t d'huĂźtres. De Birkenau Ă  Potma Ukraine en passant par Kawazaki Japon, des hommes et des femmes vont prendre la plume pour conserver ces recettes Ă©changĂ©es Ă  couvert. Pourquoi? VoilĂ  la question Ă  laquelle Anne Georget essaie de rĂ©pondre. Psychanalystes, neurologue, Ă©crivain, chef Ă©toilĂ©, philosophe et historiens apportent leur Ă©clairage sur ce "rĂ©flexe" qui semble universel. Dans les camps, les personnes qui tentent de survivre doivent faire face Ă  un chaos qui les dĂ©shumanisent. PrivĂ©s de nourriture, se voyant maigrir, ils sont dĂ©possĂ©dĂ©s de leur corps. Carnet de Warren Stewart Ă  Kawazaki "Il est sans doute difficile d’admettre, pour des non-initiĂ©s, Ă©crivait Jean Baumel, rĂ©sistant dĂ©portĂ© Ă  Auschwitz, l’importance primordiale que revĂȘtaient dans les camps de concentration les recettes de cuisine ou de pĂątisserie ; mais, lorsque nous avions digĂ©rĂ© un canard thĂ©orique aux oranges ou un excellent cassoulet abstrait, nous avions moins faim, c’est un fait". Carnet de Marcel Letertre Floha Calmer la faim, c'Ă©tait aussi rĂ©sister. RĂ©sister aussi politiquement car pour Ă©crire ces recettes, il fallait voler du papier ou du tissu et des stylos. Si ces carnets Ă©taient trouvĂ©s, les auteurs risquaient gros. Contre ce triomphe de l'imagination, les tortionnaires ne pouvaient rien. Carnet de Vera Bekzadian au goulag de Potma Ces carnets permettaient aussi de passer un bon moment, de crĂ©er des liens d'amitiĂ©s. Comme le rappelle un philologue dans le documentaire, le mot recette vient du verbe latin recevoir. La recette est reçue de quelqu'un qui l'a lui-mĂȘme reçue. C'est un cycle infini qui nous inscrit dans une lignĂ©e. Face Ă  la destruction, Ă  l'holocauste, Ă  un systĂšme qui voulait dĂ©truire des personnes, leur culture et leur monde, ces recettes ont Ă©tĂ© comme des bouĂ©es de sauvetage. Une rĂ©sistante française avoue, "la solidaritĂ©, l'amitiĂ©, tout cela nous a permis de revenir". Carnet d'Edith Combus Ravensbruck

Le27 janvier 1945, l’armĂ©e Rouge pĂ©nĂštre dans le camp de concentration d’Auschwitz et libĂšre les survivants.Le monde dĂ©couvre un systĂšme d’une barbarie inouĂŻe, jamais vue dans l’histoire de l’humanitĂ© : la «
Aujourd’hui on va parler de la Seconde Guerre mondiale et de la face cachĂ©e de celle-ci, mais aussi des camps de concentration. En effet, j’ai dĂ©couvert dans ce documentaire, que le TroisiĂšme Reich a rapidement mis en place un systĂšme de bordels. On emprisonne des filles, puis on les prostitue. D’abord pour les militaires, ensuite pour les prisonniers de camp de concentration. Enfin, certains prisonniers
 Voici l’Histoire. Les bordels nazis militaires La prostitution fait partie du milieu militaire depuis toujours. Les hommes partent Ă  la guerre durant des mois, parfois des annĂ©es, sans voir leurs Ă©pouses et pour Ă©viter les insubordinations, les rebellions et autres rĂ©voltes, on tolĂšre la prĂ©sence de filles sur les camps, voire, on l’autorise et on met en place des bordels. C’est le cas dĂšs 1939 pour la Wehrmacht et les SS, on appelle ça Soldatenbordell. Les bordels en Europe de l’est En Europe de l’est, on fabrique des bordels, on squatte un hĂŽtel, un vieil immeuble, qu’importe tant qu’il y a des chambres et des meufs ! En Pologne, les filles dans les bordels ne sont pas des prostituĂ©es, ce sont des prisonniĂšres. Elles sont rebelles, jeunes et opposĂ©es au rĂ©gime
 En 1941, le gouvernement polonais est en exil mais il veut dĂ©montrer la violence de la Wehrmacht, il dĂ©crit dans un document les rafles de jeunes filles polonaises ayant pour seul but la prostitution. Certaines ont tout juste 15 ans et sont envoyĂ©es dans tous les bordels nazis prĂ©sents en Europe. Lorsqu’elles se rĂ©voltent, on les traĂźne par les cheveux, on leur casse un bras, et dans le pire des cas
 Vous savez ce qu’il se passe. En URSS, c’est pareil. On choisit les filles parce qu’elles sont belles, parce qu’elles sont bien faites ou parce qu’elles sont vicieuses entendre par lĂ  soit prostituĂ©es soit lesbiennes. En 1942, il existe plus de 500 bordels dans le territoire europĂ©en occupĂ© par les nazis. Et en France ? En Europe de l’ouest et principalement en France, les bordels sont rĂ©quisitionnĂ©s directement avec les filles dedans. A s’installer, autant garder les meubles hein. De toutes façons, pour ce genre de filles associales et perverses, c’est soit le bordel, soit le camp ! Il est Ă©vident que toutes les filles juives sont chassĂ©es des bordels. Au nom de la protection du sang et de la race. Ici, les soldats reçoivent des cartes de visite, en fait, il s’agit d’une sorte de guide touristique. Pour le bordel 1, tu prends la premiĂšre rue Ă  gauche, puis tu longes le boulevard. Pour le deuxiĂšme, tu marches 3 km et tu prends bien garde de pas coucher avec une autre meuf sur le trajet. Eh oui, les soldats nazis n’ont pas le droit de pĂ©cho d’autres meufs que celles dans les bordels du coup, elles peuvent recevoir plus de 20 soldats par jour
. Pourquoi ? Une question d’hygiĂšne. Les filles dans les bordels sont contrĂŽlĂ©es, soignĂ©es ou emprisonnĂ©es lors qu’elles sont malades, alors peu de risque de choper la syphilis. En revanche, dans les rues, tout le monde peut ĂȘtre malade, et on peut pas prendre le risque de dissĂ©miner une armĂ©e avec la chtouille. Ça fait grave dĂ©sordre. D’ailleurs, toutes les femmes susceptibles d’avoir contaminĂ© des soldats allemands doivent comparaĂźtre devant le conseil de guerre. Les prostituĂ©es doivent prĂ©senter une carte prĂ©cisant leur statut de prostituĂ©e au cas ou, et un prĂ©servatif. PrĂ©servatif que personne n’utilise car c’est aussi agrĂ©able que de baiser dans du carton. En 1941, une visite par semaine dans les bordels nazis est obligatoire pour les jeunes soldats. Parce qu’avoir la chtouille, c’est la honte, mais toucher les couilles de son copain nazi parce qu’on a trop la dalle, c’est vraiment pas tolĂ©rable ! Entre les bordels nazis et les bordels dans les camps de concentration que nous allons dĂ©couvrir, plus de 35 000 femmes europĂ©ennes ont Ă©tĂ© forcĂ©es Ă  se prostituer. Quand mĂȘme hein
 Photos d’un bordel Ă  Brest, en 1942. On dirait que ça rigole bien, mais ça rigole pas toujours. Les bordels dans les camps de concentration Si les bordels militaires sont connus, pas super super mis en avant, mais en tout cas de notoriĂ©tĂ© publique, ce n’est pas du tout le cas des bordels dans les camps de concentration. Les camps n’étaient pas que des camps d’extermination, il y avait aussi des camps de travail, des centres de recherches mĂ©dicales et enfin, il existe aussi des blocs de prostitutions. Qui en a eu l’idĂ©e ? Qui sont les filles, et enfin, qui frĂ©quentent les bordels dans les camps de concentration ? Les bordels dans les camps, c’est pas la grosse marade avec levrette et roulages de pelle qui terminent en histoire d’amour. Non, ce n’est pas ça. Le premier bordel a Ă©tĂ© mis en place en 1942, dans le camp de Mauthausen-Gusen, puis Auschwitz, puis Buchenwald, Neuengamme, Dachau, Dora-Mittelbau et puis tous les autres
 Il s’agit de sorte de maisons au sein des camps. Des maisons entourĂ©es de fils barbelĂ©s, on compte une vingtaine de petites chambres dans chaque maison. Tout est surveillĂ© par une surveillante, une Aufseherin, comme ils disent
 Les hommes sont invitĂ©s Ă  rester seulement 15 ou 20 minutes dans la chambre avec les prostituĂ©es, ils payent 2 reichsmarks et n’ont droit qu’au missionnaire. Les gardes vĂ©rifient et peuvent intervenir en cas de non respect des rĂšgles. Les clients des bordels des camps Les clients des bordels nazis dans les camps de concentration sont des prisonniers, mais certainement pas les juifs. PlutĂŽt les Kapo, ces allemands qui ont fait des conneries ou s’opposaient au rĂ©gime, et se retrouvent internĂ©s, avec des privilĂšges que les juifs et les russes n’ont pas. Soit moins de 5% des prisonniers. Ils doivent s’inscrire sur un calendrier et attendre que la demande soit validĂ©e, ou non. Selon qu’ils ont bien gardĂ© leurs prisonniers, ou non. L’accĂšs au bordel est une sorte de rĂ©compense, mais aussi un moyen de tenir les rangs. Les kapos ont accĂšs aux filles, ce sont des privilĂ©gies, alors les prisonniers ne peuvent pas les saquer, et ainsi, ça Ă©vite des manigances entre les mecs de la hiĂ©rarchie et les prisonniers. Moins de tentatives de rebellions, moins de rĂ©pression, plus de travail. Bin oui, tout est bien pensĂ©. Autre chose, il existe des clients forcĂ©s. Oui oui. Ceux dits au triangle rose. En effet, les prisonniers homosexuels sont obligĂ©s de rendre visite Ă  une fille et Ă  coĂŻter une fois par semaine. C’est pour Himmler un moyen efficace de les guĂ©rir. Ben voyons. Les prostituĂ©es, contraintes et forcĂ©es Évidemment, les filles ne sont pas juives non plus. On ne mĂ©lange pas les torchons et les serviettes, mĂȘme au bordel
. Il s’agit de filles entre 15 et 30 ans, dites anti-sociales, comme pour les bordels militaires. Des prostituĂ©es, des lesbiennes, des meufs un peu rebelles dĂ©jĂ  emprisonnĂ©es dans les camps. Certaines se portent volontaires pour se prostituer, en effet, les nazis leur font miroiter une libĂ©ration au bout de 6 mois de loyaux services. Mais que nenni. Les prostituĂ©es sont aussi les mieux portantes, car elles ont droit Ă  un peu plus de nourriture et d’hygiĂšne, et enfin, elles sont habillĂ©es en civil. Alors, ça fait rĂȘver un peu. Mais rapidement, aprĂšs leurs journĂ©es de travail classique » dans le camp, les filles se retrouvent Ă©puisĂ©es dans les bordels. Un homme, puis deux, puis trois puis
 A la fin de la soirĂ©e, les prostituĂ©es sont humiliĂ©es, fatiguĂ©es, et mises de cotĂ© par certains autres prisonniers. C’est vrai, elles se retrouvent complices en quelques sortes
. Et puis les filles qui ne sont pas choisies peuvent se montrer trĂšs violentes envers celles qui ont le privilĂšge du quignon de pain en plus passage Ă  tabac, mutilation
 Sans parler des essais de contraception, de stĂ©rilisations et des avortements forcĂ©s qui les mĂšnent le plus souvent Ă  la mort. Les maladies sexuelles sont aussi trĂšs prĂ©sentes dans les bordels. Les prostituĂ©es sont gĂ©nĂ©ralement rapidement remplacĂ©es, car Ă©puisĂ©es ou malades. Plus de 200 filles ont ainsi Ă©tĂ© des prostituĂ©es de bordels nazis dans les camps de concentration. Certaines ont sans doute connu la libĂ©ration, mais aucune d’entre elles ne s’est manifestĂ©e. De honte sans doute. Honte d’avoir espĂ©rĂ© une vie meilleure, honte d’avoir Ă©tĂ© trahies, et salies. A la libĂ©ration, aucune des femmes victimes de prostitution dans les bordels nazis n’a pu ĂȘtre aidĂ©e, reconnue. Pour se rendre compte des atrocitĂ©s -pour beaucoup inconnues- commises lors de la Seconde Guerre mondiale, je vous invite Ă  lire l’article sur la famille Ovitz. Une famille composĂ©e de nains, juifs, ou encore celui sur Aktion T4, visant Ă  l’élimination des handicapĂ©s et autres
 Cet article t’a plu ? pour soutenir le site Raconte-moi l’Histoire et recevoir les articles directement par mail, c’est ici. Autre source Promotion de la prostitution et lutte contre l’homosexualitĂ© dans les camps de concentration nazis
Journalisteet biographe, Sonia Purnell est l’auteure de plusieurs ouvrages qui rendent hommage aux figures fĂ©minines et parfois oubliĂ©es de l’histoire. AprĂšs avoir connu le succĂšs avec un premier livre sur ClĂ©mentine Churchill, la parution de La Femme de l’ombre la hisse en tĂȘte des ventes, aussi bien aux États-Unis qu’au
Cette liste ne prĂ©tend pas ĂȘtre complĂšte. On estime en effet que les nazis ont créé plus de camps dans les territoires occupĂ©s. Il y eu de nombreux petits camps qui eurent une existence trĂšs courte, parce que construits Ă  l'occasion d'opĂ©rations ponctuelles contre les populations locales. D'autre part, il manque Ă  cette liste les nombreux camps de prisonniers construits en Russie, camps de prisonniers dans lesquels les conditions de vie Ă©taient en tout point comparables Ă  celles existant dans les pires camps de concentration. Enfin, cette liste ne comprend pas les nombreux ghettos que les nazis ont imposĂ©s dans les territoires occupĂ©s, et ce bien que nombre de ces ghettos - comme par exemple Theresienstadt - aient eu leurs propres kommandos Ă©quipe de travail extĂ©rieurs. Cette liste est basĂ©e sur les informations contenues dans deux ouvrages - Le livre de Ludo Van Eck parut en 1979 aux Ă©ditions Kritak Belgique "Le livre des Camps" Ă  ma connaissance jamais rééditĂ© mais il est encore possible de l'acheter au musĂ©e de Breendonck, Belgique - Le livre de Martin Gilbert paru en 1992 aux Ă©ditions de l'aube/Samuelson, "Atlas de la Shoa". Nos plus chaleureux remerciements Ă  Mark Vadasz et Andreas Baumgartner pour l'aide si prĂ©cieuse qu'ils nous ont apportĂ© pour la rĂ©alisation de cette liste. LeFigaro lance une collection inĂ©dite qui ravira les amateurs de littĂ©rature française : «le meilleur du prix Goncourt». La réédition tous
Les fonds d’archives en ligne sur les persĂ©cutions nazies Des 30 millions de documents originaux, quels sont ceux dĂ©jĂ  disponibles en ligne ? Il s’agit en premier lieu de ceux qui prĂ©sentent un intĂ©rĂȘt public particulier, comme les documents provenant des camps de concentration et des ghettos. Un deuxiĂšme critĂšre de mise Ă  disposition tient compte du degrĂ© de prĂ©paration des documents et de la mesure dans laquelle ils sont consultables. Il est par exemple possible d’accĂ©der aux documents concernant les marches de la mort grĂące Ă  une fonction de recherche cartographique qui s’avĂšre utile, entre autres, pour les projets locaux, pĂ©dagogiques ou commĂ©moratifs. Les principaux thĂšmes des archives en ligne sont Les personnes dĂ©placĂ©es un fonds aisĂ©ment consultable de documents relatifs Ă  la pĂ©riode de l’aprĂšs-guerre, parmi lesquels, notamment, des questionnaires provenant de l’Organisation internationale pour les rĂ©fugiĂ©s OIR souvent accompagnĂ©s de photographies. Les camps de concentration, les ghettos, et les centres de dĂ©tention nazis le fonds, constituĂ© de documents personnels de prisonniers, est particuliĂšrement complet pour les camps de concentration de Dachau et de Buchenwald. Parmi les documents figurent Ă©galement des listes de transport et des listes de prisonniers provenant des diffĂ©rents camps. Les fonds spĂ©ciaux ils comportent, par exemple, des photos de tous les effets personnels.
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Sonlivre La Grande Grippe, reconnu Meilleur livre de l’annĂ©e par l’AcadĂ©mie nationale des sciences des États-Unis, est considĂ©rĂ© comme l’ouvrage de rĂ©fĂ©rence sur la grippe espagnole. VĂ©ritable best-seller international, il est une
Le choix de Sophie Drame 1982 2 h 30 min iTunes Le film Le Choix de Sophie est basĂ© sur le roman de William Styron. Ce roman est souvent considĂ©rĂ© comme le meilleur livre de Styron et comme le roman le plus important du vingtiĂšme siĂšcle. Sophie Meryl Streep est une rescapĂ©e des camps de concentration des Nazis. Elle a retrouvĂ© son envie de vivre grĂące Ă  Nathan Kevin Kline, un Juif amĂ©ricain Ă  l’esprit Ă©tincelant mais labile, obsĂ©dĂ© par l’Holocauste. Ils se lient d’amitiĂ© avec Stingo Peter MacNicol, un jeune Ă©crivain amĂ©ricain qui vient de s’installer Ă  New York. Mais le bonheur de Sophie et Nathan est menacĂ© par leur passĂ©. Meryl Streep remporta un Oscar pour son interprĂ©tation dans la catĂ©gorie du “meilleur rĂŽle principal fĂ©minin” 1983. Drame 1982 2 h 30 min iTunes Tout public En vedette Meryl Streep, Kevin Kline, Peter MacNicol RĂ©alisation Alan J. Pakula Bandes-annonces Similaires Distribution et Ă©quipe technique dA3w7vh.
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